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Principal financeur (à hauteur de 71 %), l’Établissement public foncier d’Île-de-France (Epfif) pilote le dispositif aux côtés de l’Établissement public territorial Grand Paris-Grand Est, la Caisse des Dépôts, l’Anah, la Ville de Clichy-sous-Bois, mais aussi l’Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine), la Région Île-de-France et l’Agence Régionale de Santé (ARS). Photo : Sabrina Budon

Sur le quartier du Chêne Pointu, les logements encore occupés (habitants en attente de relogement) doivent faire l’objet d’une mise en sécurité pour continuer à vivre dans des conditions décentes. Mise en sécurité gaz et électricité, garde-corps, éclairage, ascenseur… De nombreux aspects sont améliorés. Photo : Sabrina Budon

Au nord du quartier, la copropriété du domaine de la Pelouse a fait l’objet de deux Popac (programme opérationnel de prévention et d’accompagnement des copropriétés) depuis 2014. Aujourd’hui, l’accompagnement se concentre sur la professionnalisation du syndic. Photo : Sabrina Budon

Le long de l’allée Maurice Andin, la copropriété Sévigné rencontre des problèmes structurels et géo-techniques. Ces fondations pas assez profondes vont obliger à mener des travaux de structure. Avant que la copropriété lance la réflexion pour changer son mode de chauffage. Photo : Sabrina Budon

Au Chêne Pointu et à l’Étoile du Chêne Pointu, l’Epfif va acquérir puis démolir plus de 1 400 logements. Fin 2022, plus de 1 000 ont déjà été rachetés, une grande partie d’entre eux sont vacants. Une fois vide, la majorité des bâtiments seront détruits d’ici 2028. Photo : Sabrina Budon

Dans le Bas-Clichy, de très nombreuses copropriétés sont en difficulté (endettement, dégradation du bâti, présence de marchands de sommeil). L’Orcod-In est là pour intervenir de manière transversale en traitant l’habitat mais aussi les difficultés sociales et les problèmes urbains. Photo : Sabrina Budon

Le cœur de l’action de l’Orcod-In se situe sur les coppropriétés le Chêne Pointu, l’Étoile du Chêne pointu, Sévigné, Vallée des Anges et Allende, classés en plan de sauvegarde. Mais l’Epfif a une vision d’ensemble pour que les difficultés rencontrées quelque part ne se reportent pas ailleurs. Photo : Sabrina Budon

En partenariat avec l’Anah, une gestion urbaine et sociale de proximité a été lancée. Sur ce parking, une économie parallèle d’activités informelles de réparation automobile conduit à l’apparition progressive d’épaves. Grâce au soutien financier de l’Anah, des opérations de nettoyage ont lieu plusieurs fois par an. Photo : Sabrina Budon