Le centre d’hébergement et de stabilisation était partiellement vétuste. C’est en partant des besoins des femmes, identifiés au travers d’ateliers, qu’un programme de rénovation globale s’est progressivement mis en place. L’équipe, avec Soliha, a profité de la démarche pour repenser le volet accompagnement. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteAu-delà de répondre aux besoins immédiats des femmes accueillies, l’enjeu est de préserver et stimuler leur autonomie. Le gite mise sur la participation de chacune aux repas, grâce à l’aménagement d’une cuisine participative qui permet de maintenir les gestes de la vie quotidienne. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteÀ côté de la cuisine, la salle de vie a gagné en convivialité. Anciennement simple réfectoire, elle se compose de plusieurs espaces distincts dédiés aux repas, à la discussion, à la pause-café… au plus proche d’une certaine vie ordinaire. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteOn trouve au sous-sol une salle informatique accueillante et polyvalente. Elle bénéficie d’une nouvelle connectivité et d’une bonne ventilation. Depuis qu’elle a été refaite, la salle est régulièrement mobilisée en interne ou mise à disposition des partenaires pour des formations ou des réunions. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteGrace aux transformations opérées, la structure propose 4 studios en plus des chambres doubles et individuelles. Pensés comme tremplin vers le logement autonome, ces studios donnent la possibilité aux femmes de s’autoévaluer, en essayant la vie en appartement. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteLes studios permettent aux équipes d’apprécier les capacités des femmes, de les accompagner au mieux dans la poursuite de leur parcours résidentiel. "Certaines sont prêtes pour le logement social tandis que d’autres se rendent compte qu’elles ne sont pas assez autonomes et seront orientées plutôt vers une pension de famille ou une résidence sociale" explique S. Guiboux, travailleur social. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteL’accessibilité est aussi un des atouts du gite : ascenseur rénové suffisamment grand pour accueillir un fauteuil, entrée dédiée aménagée, éclairage amélioré… et deux des studios sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente Suivante"Il était nécessaire de bien comprendre le projet, qui était avant tout social, avec un volet accessibilité et un autre pour la rénovation énergétique" résume A. Barreda. Une réussite pour la directrice, qui exprime un seul regret : "On se rend compte que le besoin en accessibilité est énorme." Prochain défi : favoriser encore plus l’accessibilité. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteL’Anah a financé ce projet à hauteur de 342 000 euros, sur un montant total de 558 000 euros. Le gite a aussi sollicité des subventions de la Fondation Bettencourt Schueller (140 000 euros). Le reste à charge été financé sur fonds propre. Photo : Gilles Lefrancq
Précédente SuivanteEn plein cœur de Toulouse, le centre d’hébergement Vélane a bénéficié du programme d’aide à l’humanisation de l’Anah. L’Agence a financé près des deux tiers du coût total du projet, qui permet aujourd’hui un accueil digne, propice à l’autonomie et à la sérénité des femmes hébergées.
septembre 2020