Pour faire face aux graves problèmes de santé de sa femme, André a été obligé d’aménager sa maison. "Ma femme avait besoin d’un monte-escalier électrique et d’une salle de bain adaptée pour quitter l’hôpital et rentrer à la maison", explique-t-il aujourd’hui. On comprend mieux la notion d’urgence au cœur de l’expérimentation menée par l’Anah. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteDès l’été 2016, l’Anah et ses partenaires (ici l’opérateur Urbanis) ont analysé leurs pratiques pour déterminer les leviers d’optimisation des délais d’instruction des dossiers urgents. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteParmi les nouvelles mesures testées, le formulaire de demande de subvention a été allégé, le nombre de pièces justificatives demandées aux bénéficiaires revu à la baisse. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteLe dossier est dorénavant instruit dès son dépôt auprès des services instructeurs de l’Anah et agréé lors d’une commission locale d’amélioration de l’habitat (CLAH) dite "administrative", sans attendre la tenue de la CLAH classique qui se réunit tous les trois mois. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteLes architectes et chargés de missions d’Urbanis interviennent dans les 72 heures suivant la demande. À l’issue de la visite, l’opérateur autorise le lancement des travaux urgents, même s’il manque des justificatifs au dossier. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteEn un an, une vingtaine de dossiers ont été traités en urgence. Un dispositif qui répond à un véritable besoin sur le terrain. Ces nouvelles procédures testées en Haute-Garonne sont actuellement en cours de déploiement en France. Photo G. Lefrancq
Précédente SuivanteEn Haute-Garonne, l’Anah a considérablement réduit les délais de traitement des dossiers de travaux urgents liés à l’adaptation du logement. Un gain de temps précieux pour les publics les plus fragiles.
septembre 2017